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Collection Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture
- Editeur : Cité de l'Architecture et du Patrimoine
- ISSN : pas d'ISSN
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Le logement ouvrier / Antoine LE BAS
Titre : Le logement ouvrier : de l’utopie à la réalité Type de document : document multimédia Auteurs : Antoine LE BAS, Auteur Editeur : Cité de l'Architecture et du Patrimoine Année de publication : 2007-2008 Collection : Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture num. 15 Importance : 1h46’59’’ Langues : Français Note de contenu : "A l’origine des réflexions et des propositions sur le logement ouvrier, on trouve des républicains – proches ou lointains héritiers d’un socialisme utopique –, des humanistes nourris de saint-simonisme, voire de césarisme. Mais réflexions, propositions et réalisations proviennent aussi de patrons et de penseurs d’inspiration chrétienne – industriels, banquiers et entrepreneurs divers – soucieux d’harmonie sociale et d’un ordre juste. Au cours d’un demi-siècle agité (1848,1871, 1905…), ces réflexions passent lentement – et à travers des expériences très diverses – de l’utopie à la réalité. Les discours se concrétisent dans les grands secteurs de l’industrie (compagnies minières, industrie textile, entreprises ferroviaires), comme dans des structures plus modestes. Dès lors, les premières réalisations font évoluer le discours. On passe ainsi de la notion de modèle répétitif à celle de cité ; de la maison individuelle à l’immeuble collectif ; puis de la location à l’accession à la propriété ; du logement à la cité organisée dont le logement devient l’élément fédérateur. En somme, à mesure que la classe ouvrière s’affirme comme telle et contribue à structurer la société européenne et sa vie politique, la question du logement ouvrier agit comme un révélateur de sa place dans la cité ; à coup sûr comme un élément déterminant de l’économie sociale et politique et de l’organisation urbaine. Ce n’est donc pas un hasard si, au terme d’une lente évolution, le logement social se trouvera au cœur des politiques nationales et municipales de l’entre-deux-guerres, jusque dans la crise économique et sociale des années trente, qui finit par affecter le logement de toutes les classes sociales." Le logement ouvrier : de l’utopie à la réalité [document multimédia] / Antoine LE BAS, Auteur . - France : Cité de l'Architecture et du Patrimoine, 2007-2008 . - 1h46’59’’. - (Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture; 15) .
Langues : Français
Note de contenu : "A l’origine des réflexions et des propositions sur le logement ouvrier, on trouve des républicains – proches ou lointains héritiers d’un socialisme utopique –, des humanistes nourris de saint-simonisme, voire de césarisme. Mais réflexions, propositions et réalisations proviennent aussi de patrons et de penseurs d’inspiration chrétienne – industriels, banquiers et entrepreneurs divers – soucieux d’harmonie sociale et d’un ordre juste. Au cours d’un demi-siècle agité (1848,1871, 1905…), ces réflexions passent lentement – et à travers des expériences très diverses – de l’utopie à la réalité. Les discours se concrétisent dans les grands secteurs de l’industrie (compagnies minières, industrie textile, entreprises ferroviaires), comme dans des structures plus modestes. Dès lors, les premières réalisations font évoluer le discours. On passe ainsi de la notion de modèle répétitif à celle de cité ; de la maison individuelle à l’immeuble collectif ; puis de la location à l’accession à la propriété ; du logement à la cité organisée dont le logement devient l’élément fédérateur. En somme, à mesure que la classe ouvrière s’affirme comme telle et contribue à structurer la société européenne et sa vie politique, la question du logement ouvrier agit comme un révélateur de sa place dans la cité ; à coup sûr comme un élément déterminant de l’économie sociale et politique et de l’organisation urbaine. Ce n’est donc pas un hasard si, au terme d’une lente évolution, le logement social se trouvera au cœur des politiques nationales et municipales de l’entre-deux-guerres, jusque dans la crise économique et sociale des années trente, qui finit par affecter le logement de toutes les classes sociales." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1510 LEB DVD Bibliothèque principale CAUE Multimédia Disponible Le logement sous toutes ses formes / Francis RAMBERT
Titre : Le logement sous toutes ses formes Type de document : document multimédia Auteurs : Francis RAMBERT, Auteur Editeur : Cité de l'Architecture et du Patrimoine Année de publication : 2007-2008 Collection : Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture num. 23 Importance : 1h17’36’’ Langues : Français Note de contenu : "Tenir compte des mutations familiales et professionnelles, tel est l’enjeu de l’habitat aux prises avec les grandes transformations de la vile contemporaine. Beaucoup de chemin a été parcouru depuis le modèle Haussmannien et le concept corbuséen de la machine à habiter. Depuis "Nemausus", opération emblématique d’habitat social des années 80, le logement, matière essentielle de la ville, aurait tendance à renouer avec la notion de "laboratoire d’architecture »", l’idée est d’explorer de nouveaux modes de vie en phase avec de nouvelles pratiques de la ville. Si la rénovation urbaine implique de requestionner l’architecture des 30 glorieuses, l’ère est à la mixité des programmes et des populations. D’autre part, le sacro-saint "développement durable" a pris une place importante sur l’agenda du logement, à l’échelle de la maison, comme de l’immeuble collectif." Le logement sous toutes ses formes [document multimédia] / Francis RAMBERT, Auteur . - France : Cité de l'Architecture et du Patrimoine, 2007-2008 . - 1h17’36’’. - (Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture; 23) .
Langues : Français
Note de contenu : "Tenir compte des mutations familiales et professionnelles, tel est l’enjeu de l’habitat aux prises avec les grandes transformations de la vile contemporaine. Beaucoup de chemin a été parcouru depuis le modèle Haussmannien et le concept corbuséen de la machine à habiter. Depuis "Nemausus", opération emblématique d’habitat social des années 80, le logement, matière essentielle de la ville, aurait tendance à renouer avec la notion de "laboratoire d’architecture »", l’idée est d’explorer de nouveaux modes de vie en phase avec de nouvelles pratiques de la ville. Si la rénovation urbaine implique de requestionner l’architecture des 30 glorieuses, l’ère est à la mixité des programmes et des populations. D’autre part, le sacro-saint "développement durable" a pris une place importante sur l’agenda du logement, à l’échelle de la maison, comme de l’immeuble collectif." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1518 RAM DVD Bibliothèque principale CAUE Multimédia Disponible Luxe et confort dans la "domus" romaine / Jean-Pierre ADAM
Titre : Luxe et confort dans la "domus" romaine Type de document : document multimédia Auteurs : Jean-Pierre ADAM, Auteur Editeur : Cité de l'Architecture et du Patrimoine Année de publication : 2007-2008 Collection : Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture num. 2 Importance : 2h07’10’’ Langues : Français Note de contenu : "La remarquable diversité des programmes de l’architecture et des travaux publics des Romains ne doit pas faire oublier la réalisation la plus évidente de l’art de bâtir : la maison d’habitation ou, en d’autres termes, la domus. Dès que les Romains eurent maîtrisé les techniques de la maçonnerie et de la charpente, leurs résidences ont bénéficié d’une qualité structurelle égale et souvent supérieure à celle des maisons du monde grec. Mais c’est en fait grâce à l’héritage grec, dont ils se sont montrés les admirateurs sincères, que les Romains vont porter à un niveau étonnant le confort et le luxe décoratif découverts dans les demeures hellénistiques. C’est à Pompéi que la visite de la maison romaine prend toute sa saveur, en raison de la préservation tragique mais remarquable de toute la ville, mais aussi – et c’est le double privilège accordé à notre curiosité par le Vésuve –, en raison de l’extrême richesse de la Campanie, ayant entraîné la richesse de cette ville et la qualité de son architecture." Luxe et confort dans la "domus" romaine [document multimédia] / Jean-Pierre ADAM, Auteur . - France : Cité de l'Architecture et du Patrimoine, 2007-2008 . - 2h07’10’’. - (Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture; 2) .
Langues : Français
Note de contenu : "La remarquable diversité des programmes de l’architecture et des travaux publics des Romains ne doit pas faire oublier la réalisation la plus évidente de l’art de bâtir : la maison d’habitation ou, en d’autres termes, la domus. Dès que les Romains eurent maîtrisé les techniques de la maçonnerie et de la charpente, leurs résidences ont bénéficié d’une qualité structurelle égale et souvent supérieure à celle des maisons du monde grec. Mais c’est en fait grâce à l’héritage grec, dont ils se sont montrés les admirateurs sincères, que les Romains vont porter à un niveau étonnant le confort et le luxe décoratif découverts dans les demeures hellénistiques. C’est à Pompéi que la visite de la maison romaine prend toute sa saveur, en raison de la préservation tragique mais remarquable de toute la ville, mais aussi – et c’est le double privilège accordé à notre curiosité par le Vésuve –, en raison de l’extrême richesse de la Campanie, ayant entraîné la richesse de cette ville et la qualité de son architecture." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1497 ADA DVD Bibliothèque principale CAUE Multimédia Disponible La maison de plaisance au XVIIIe siècle / Vincent DROGUET
Titre : La maison de plaisance au XVIIIe siècle Type de document : document multimédia Auteurs : Vincent DROGUET, Auteur Editeur : Cité de l'Architecture et du Patrimoine Année de publication : 2007-2008 Collection : Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture num. 12 Importance : 1h43’42’’ Langues : Français Note de contenu : "Dans les premières décennies du XVIIIe siècle, la littérature architecturale accorde une place nouvelle au programme de la maison de plaisance. En 1737, Jacques-François Blondel publie De la distribution des maisons de plaisance tandis que Charles-Etienne Briseux fait paraître en 1743 L’art de bâtir les maisons de campagne. Sans que ces recueils puissent être considérés comme les premiers traités consacrés à la construction à la campagne, ils témoignent d’une demande et d’un engouement manifeste de la part de l’aristocratie et de la bourgeoisie de finance pour un type d’habitation qui se démarque clairement de la tradition du château français, telle qu’elle s’était constituée depuis la Renaissance. Dans les faits, ces publications sont largement précédées par la construction de maisons de campagne, situées le plus souvent à la périphérie des grandes villes, dont le plan massé et la relative simplicité des élévations constituent les caractères dominants. Des exemples précoces de ce type d’habitat peuvent être repérés non seulement autour de Paris, mais également dans les environs de cités économiquement dynamiques comme Saint-Malo, Bordeaux ou Montpellier. La faveur dont jouit ce parti architectural dans la société française paraît d’ailleurs correspondre parfaitement à un mode de vie nouveau privilégiant le confort et l’intimité, perceptible également dans la construction urbaine. La maison de plaisance, au moins jusqu’aux années 1760-70, semble même avoir supplanté le château dont l’image est pourtant si vivante dans l’imaginaire collectif. En réalité, sous ce terme de "maison de plaisance" viennent se ranger des types de constructions très différents allant de la "folie" située dans les faubourgs de Paris ou d’une grande ville du royaume, à des bâtiments dont l’ampleur et la mise en scène rappellent bien des traits distinctifs du château. A partir des dernières années du règne de Louis XV, la vague de palladianisme qui touche l’architecture française, à travers l’œuvre d’architectes comme Claude-Nicolas Ledoux ou François-Joseph Bélanger, contribuera encore à rendre un peu plus complexe toute tentative de classification des habitations aristocratiques ou bourgeoises, en imposant le parti du pavillon isolé à la construction urbaine. On peut voir dans cette période de la fin du XVIIIe siècle le triomphe de la maison de plaisance mais aussi la perte de sa spécificité réelle et de sa place originale dans le paysage de l’architecture française." La maison de plaisance au XVIIIe siècle [document multimédia] / Vincent DROGUET, Auteur . - France : Cité de l'Architecture et du Patrimoine, 2007-2008 . - 1h43’42’’. - (Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture; 12) .
Langues : Français
Note de contenu : "Dans les premières décennies du XVIIIe siècle, la littérature architecturale accorde une place nouvelle au programme de la maison de plaisance. En 1737, Jacques-François Blondel publie De la distribution des maisons de plaisance tandis que Charles-Etienne Briseux fait paraître en 1743 L’art de bâtir les maisons de campagne. Sans que ces recueils puissent être considérés comme les premiers traités consacrés à la construction à la campagne, ils témoignent d’une demande et d’un engouement manifeste de la part de l’aristocratie et de la bourgeoisie de finance pour un type d’habitation qui se démarque clairement de la tradition du château français, telle qu’elle s’était constituée depuis la Renaissance. Dans les faits, ces publications sont largement précédées par la construction de maisons de campagne, situées le plus souvent à la périphérie des grandes villes, dont le plan massé et la relative simplicité des élévations constituent les caractères dominants. Des exemples précoces de ce type d’habitat peuvent être repérés non seulement autour de Paris, mais également dans les environs de cités économiquement dynamiques comme Saint-Malo, Bordeaux ou Montpellier. La faveur dont jouit ce parti architectural dans la société française paraît d’ailleurs correspondre parfaitement à un mode de vie nouveau privilégiant le confort et l’intimité, perceptible également dans la construction urbaine. La maison de plaisance, au moins jusqu’aux années 1760-70, semble même avoir supplanté le château dont l’image est pourtant si vivante dans l’imaginaire collectif. En réalité, sous ce terme de "maison de plaisance" viennent se ranger des types de constructions très différents allant de la "folie" située dans les faubourgs de Paris ou d’une grande ville du royaume, à des bâtiments dont l’ampleur et la mise en scène rappellent bien des traits distinctifs du château. A partir des dernières années du règne de Louis XV, la vague de palladianisme qui touche l’architecture française, à travers l’œuvre d’architectes comme Claude-Nicolas Ledoux ou François-Joseph Bélanger, contribuera encore à rendre un peu plus complexe toute tentative de classification des habitations aristocratiques ou bourgeoises, en imposant le parti du pavillon isolé à la construction urbaine. On peut voir dans cette période de la fin du XVIIIe siècle le triomphe de la maison de plaisance mais aussi la perte de sa spécificité réelle et de sa place originale dans le paysage de l’architecture française." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1507 DRO DVD Bibliothèque principale CAUE Multimédia Disponible Manoirs et petits châteaux
Titre : Manoirs et petits châteaux Type de document : document multimédia Editeur : Cité de l'Architecture et du Patrimoine Année de publication : 2007-2008 Collection : Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture num. 8 Importance : 1h08’20’’ Langues : Français Note de contenu : "A côté du château à proprement parler, "qui a fermeture de tours et donjon au milieu, et ceintures de fossés", il y a d’autres logis seigneuriaux, "maisons plates", "manoirs", "maisons de champs", des petites châteaux au sens vulgaire du terme, qui sont les résidences aux champs des gentilshommes campagnards et de la petite noblesse de robe urbaine. Du point de vue architectural, des logis aux champs se situent entre le château féodal et la ferme. Le logis seigneurial et souvent disposé dans la même cour que les bâtiments de la ferme, ou isolé, sur un plan massé plus modeste. La fonction économique agricole est dominante ; mais au XVIe siècle, cette rusticité peut être source de plaisir. L’agriculture et maison rustique par Charles Etienne (1564), Le livre d’architecture pour les champs par Jacques Androuet du Cerceau (1582), Le théâtre d’agriculture et ménage des champs par Olivier de Serres (1600) sont les meilleures clefs pour comprendre ces dispositions complexes, qui ont été en général profondément altérées au cours du temps et dont les plus anciennes représentations datent le plus souvent de la fin du XVIIIe siècle (Atlas de Trudaine), voire des premières décennies du XIXe (cadastre napoléonien). Archéologie du bâti et archéologie de papier permettent cependant, quand on les croise, de restituer assez d’exemples pour permettre une analyse renouvelée de ce patrimoine très riche, quantitativement toujours, qualitativement souvent." Manoirs et petits châteaux [document multimédia] . - France : Cité de l'Architecture et du Patrimoine, 2007-2008 . - 1h08’20’’. - (Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture; 8) .
Langues : Français
Note de contenu : "A côté du château à proprement parler, "qui a fermeture de tours et donjon au milieu, et ceintures de fossés", il y a d’autres logis seigneuriaux, "maisons plates", "manoirs", "maisons de champs", des petites châteaux au sens vulgaire du terme, qui sont les résidences aux champs des gentilshommes campagnards et de la petite noblesse de robe urbaine. Du point de vue architectural, des logis aux champs se situent entre le château féodal et la ferme. Le logis seigneurial et souvent disposé dans la même cour que les bâtiments de la ferme, ou isolé, sur un plan massé plus modeste. La fonction économique agricole est dominante ; mais au XVIe siècle, cette rusticité peut être source de plaisir. L’agriculture et maison rustique par Charles Etienne (1564), Le livre d’architecture pour les champs par Jacques Androuet du Cerceau (1582), Le théâtre d’agriculture et ménage des champs par Olivier de Serres (1600) sont les meilleures clefs pour comprendre ces dispositions complexes, qui ont été en général profondément altérées au cours du temps et dont les plus anciennes représentations datent le plus souvent de la fin du XVIIIe siècle (Atlas de Trudaine), voire des premières décennies du XIXe (cadastre napoléonien). Archéologie du bâti et archéologie de papier permettent cependant, quand on les croise, de restituer assez d’exemples pour permettre une analyse renouvelée de ce patrimoine très riche, quantitativement toujours, qualitativement souvent." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1503 MIG DVD Bibliothèque principale CAUE Multimédia Disponible La rémanence des régionalismes / Daniel LE COUEDIC
PermalinkLa résidence de villégiature aux XIXe & XXe siècles / Bernard TOULIER
PermalinkSuperarchitecture / Dominique ROUILLARD
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