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Auteur Dominique ROUILLARD
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Superarchitecture / Dominique ROUILLARD
Titre : Superarchitecture Type de document : document multimédia Auteurs : Dominique ROUILLARD, Auteur Editeur : Cité de l'Architecture et du Patrimoine Année de publication : 2007-2008 Collection : Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture num. 22 Importance : 1h59’19’’ Langues : Français Note de contenu : "1953-1973 : la période voit se succéder trois stratégies pour reconstruire une théorie de l’architecture et de la ville sur les décombres de la médiocrité bâtie largement produite par le fonctionnalisme moderne. Refusant la posture avant-gardiste, la parole anthropologique des architectes du Team Ten propose une adéquation de l’architecture à la société "telle qu’elle est" : l’habitation se pense alors à partir d’un individu réel, multiculturel et « incertain », communiquant et consommant, dont la sociologie contemporaine cherche encore à cerner l’identité. L’urbanisme relationnel qui s’y définit réintroduit la ville existante, oubliée dans la filière de la pensée progressiste qui marque encore l’approche. La perte de confiance des architectes face au développement urbain et à la disparition supposée de "la ville", tout comme la prétention à dépasser le fonctionnalisme sociologique du Team Ten, produira les projets de mégastructures : des hybrides colossaux intercontinentaux qui règlent d’un seul geste l’architecture, la ville et l’infrastructure. Ultime expression démiurgique de l’architecte, la mégastructure a néanmoins parfaitement saisi les enjeux de la ville contemporaine, proposant l’urbanisation en nappe contre le zoning, la transformation du territoire en intérieur aménagé qui tient lieu d’habitat, l’invention d’une ville interactive. Enfin, dans ses excès, la mégastructure donne prise à une critique "radicale" qui oppose à son positivisme la distanciation d’une utopie négative. La contre utopie radicale transforme le projet en une narration, fait passer l’architecture jusque-là conçue en terme de progrès social et de bonheur humain à une architecture de la révélation du monde existant et à la fiction d’autres façons d’habiter le monde : une "superarchitecture"." Superarchitecture [document multimédia] / Dominique ROUILLARD, Auteur . - France : Cité de l'Architecture et du Patrimoine, 2007-2008 . - 1h59’19’’. - (Les cours publics. Histoire & actualité de l'architecture; 22) .
Langues : Français
Note de contenu : "1953-1973 : la période voit se succéder trois stratégies pour reconstruire une théorie de l’architecture et de la ville sur les décombres de la médiocrité bâtie largement produite par le fonctionnalisme moderne. Refusant la posture avant-gardiste, la parole anthropologique des architectes du Team Ten propose une adéquation de l’architecture à la société "telle qu’elle est" : l’habitation se pense alors à partir d’un individu réel, multiculturel et « incertain », communiquant et consommant, dont la sociologie contemporaine cherche encore à cerner l’identité. L’urbanisme relationnel qui s’y définit réintroduit la ville existante, oubliée dans la filière de la pensée progressiste qui marque encore l’approche. La perte de confiance des architectes face au développement urbain et à la disparition supposée de "la ville", tout comme la prétention à dépasser le fonctionnalisme sociologique du Team Ten, produira les projets de mégastructures : des hybrides colossaux intercontinentaux qui règlent d’un seul geste l’architecture, la ville et l’infrastructure. Ultime expression démiurgique de l’architecte, la mégastructure a néanmoins parfaitement saisi les enjeux de la ville contemporaine, proposant l’urbanisation en nappe contre le zoning, la transformation du territoire en intérieur aménagé qui tient lieu d’habitat, l’invention d’une ville interactive. Enfin, dans ses excès, la mégastructure donne prise à une critique "radicale" qui oppose à son positivisme la distanciation d’une utopie négative. La contre utopie radicale transforme le projet en une narration, fait passer l’architecture jusque-là conçue en terme de progrès social et de bonheur humain à une architecture de la révélation du monde existant et à la fiction d’autres façons d’habiter le monde : une "superarchitecture"." Réservation
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